Médecins spécialistes 2

Prendre soin de sa santé est devenu un besoin fondamental et impératif. Le nombre considérable de sites d’information médicale sur l’internet est bien plus important. Cela a rendu la relation, avec le médecin généraliste et le spécialiste, plus exigeante et l’a certainement modifiée pour le mieux. Dans cette nouvelle perspective, le choix d’un spécialiste est conseillé afin d’approfondir les examens de laboratoire ou instrumentaux, ou simplement pour en savoir plus sur un trouble ou une pathologie qui les affecte. Fondamentalement, il existe trois façons de choisir un spécialiste à consulter, chacune ayant ses propres mérites et défauts.

Le conseil d’un ami

Il arrive souvent que l’on se fie aux conseils d’un ami ou d’un parent, qui a présenté la même pathologie que nous et a trouvé un soulagement grâce aux thérapies de ce spécialiste particulier. Médecins spécialistes 1Le raisonnement qui nous pousse à choisir le même médecin que notre ami ou notre parent est simple : s’il a bien réussi, je réussirai aussi. Sur le plan psychologique, notamment en cas de maladie grave ou d’intervention chirurgicale, nous nous sentons plus calmes, ce qui a également un effet bénéfique sur le rétablissement.

Il est vrai, cependant, que la déduction n’est pas toujours vraie ; parfois, un traitement différent peut se produire et, par conséquent, le résultat peut également changer. En outre, choisir un médecin recommandé par un ami peut représenter un danger pour la vie privée, la vôtre comme la sienne, car le médecin, bien que professionnellement correct, pourrait vous révéler des détails de la pathologie de votre ami et vice versa. Enfin, un autre inconvénient est que vous risquez d’offenser l’ami qui l’a recommandé si vous avez des doutes à clarifier.

Les conseils du médecin de famille

Il peut arriver que ce soit le médecin de famille lui-même qui recommande la visite chez un spécialiste pour examiner une éventuelle pathologie, ce qui ne peut être de son ressort, précisément parce qu’il est généraliste. Il connaît parfaitement :

  • vos antécédents médicaux,
  • les médicaments que vous ne tolérez pas,
  • les thérapies en cours.

Il peut donc vous conseiller mieux que quiconque le spécialiste le plus proche, qui est également le mieux adapté à votre situation psychologique actuelle.

Cela permet également de raccourcir les délais, car le médecin de famille saura également quels tests faire avant la visite du spécialiste. En outre, il pourra vous suivre pendant votre séjour à l’hôpital, si une opération est nécessaire. Il s’agit donc peut-être de la meilleure solution. Mais il est également vrai que chaque situation a ses inconvénients. Ainsi, vous pouvez vous retrouver face à un médecin généraliste qui n’est peut-être pas au courant des nouvelles installations de la région, ou qui peut avoir une idée erronée de la situation et donc vous orienter de manière incorrecte.

Recours à la structure publique

De même que l’on choisit un médecin généraliste et un pédiatre, on peut également choisir les spécialistes qui se rendent dans les cliniques ambulatoires mises à disposition par la structure publique elle-même.Médecins spécialistes Il en va de même pour les hôpitaux : chaque hôpital dispose d’un certain nombre de cliniques externes où les patients externes peuvent se rendre quotidiennement.

En revanche, le temps d’attente pour un examen ou une visite peut également être assez long, notamment pour une intervention chirurgicale. Un autre inconvénient est que, comme les médecins des cliniques externes ne sont jamais les mêmes, mais varient à tour de rôle, il est possible que l’on soit suivi, dans le cas de thérapies prolongées, par exemple, par différents médecins, qui doivent à chaque fois faire le point sur les antécédents médicaux du patient. D’autres inconvénients peuvent être le peu de temps dont dispose le patient pendant la visite, les horaires qui ne sont pas toujours commodes, car ils sont souvent limités au matin ou au soir.